Sambor, seconde nuit

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Un reveil de plus au sein de Jérusalem.
Après avoir bien veillé aux soins de quelques personnes que je suis à l’hôpital, je me rends à la porte du Lion, porte par laquelle mes associés de la veille vont arriver.
Les apercevant de loin, ils ont l’air plus faible que la veille, bien étrange comportement encore que des vampires qui ne pensent à se nourir avant une nuit …

Mais nous sommes tous pris rapidement d’un nouveau besoin qui s’impose à nous. Je deteste toujours autant ne pas avoir la maitrise de mes décisions. Ce besoin nous guide dans la quartier chrétien, pres d’une maison bien riche extérieurement.
Après le passage devant de nombreux humains tous aussi autain les uns que les autres et revérencieux, nous arrivons enfin devant une femme qui se présente en tant qu’Etheria.
La discussion est brève, trop brève et menée entièrement par cette dernière. La encore, pas de possibilité de faire quoique ce soir, ce qui m’enèrve toujours autant, surtout quant un hurlement lointaint nous rappelle que la nuit précédente, nous n’avions eu guère de choix également.
Enfin, nous apprenons que chacun d’entre nous a une dette envers Etheria (je me gade bien de dire que ce n’est pas mon cas) et que son contrôle de Jérusalem est fragilisé en ce moment. En effet, la nière du patriarche chrétien de la cité a disparu. Etheria, visiblement, craint que la faction qui est opposée à son contrôle n’est pris possession de la nièce qui se nomme Agnès afin de faire pression sur le patriarche pour prendre des décisions.
Puis la réunion s’achève … même pas le temps de demander un laisser-passer afin de parler au patriarche qui a peut-être des information pour nous.

En ressortant, nous nous apercevons que nous avons peu d’informations et peu de pistes pour entamer notre enquête. C’est à ce moment que Sheitan nous parle de sa discussion avec les rats.
Il semblerait que les lépereux pourraient être à l’origine de ce tremblement de terre. Nous tombons tous d’accord pour aller donc rendre visite au clan des lépreux situés en dehors de la ville, clans des lépreux surement dirigés par des Nosferatus, de siples humains ne pouvant être à l’originie d’un tel cataclysme.

Sortir de Jérusalem est un jeu d’enfants, personne ne fait vraiement attention à ce qui sort par la porte donnant au clan des lépreux.
Arrivés sur place, Sheitan semble être sur de son fait et avance clairement pour se présenter et demander à parler au responsable du clan. En montrant son bras, j’apercois clairment des traces de la lèpre que je reconnais facilement. Cette maladie semble lui ouvrir les portes du sanctuaire, et les leprux sur place invite Fidelma et moi même à accompagner Sheitan.

On nous amène donc devant un certain Ephraïm. La puissance de ce Nosferatu depasse largement nos maigres capacités, et j’espère qu’il n’est pas hostile. Il tourne un temps autour de nous, et se rapprochant de moi soulève le turban que j’ai sur le frond.
« C’est une bonne chose que vous arriviez à dissimuler votre don. Votre survie n’en sera que faciliter »
Cette seule phrase me conforte dans l’étendue de son pouvoir, et me réconforte. Ce caïnite aurait été hostile, je serais déjà mort.
Ensuite, la discussion tourne rapidement vers Etheria. Après quelques informations que je ne saisis pas bien vers Sheitan, Ephraim nous apprend que la nièce du patriarche partait souvent en cachette accompagnée du garde Launay qui était affecté à sa surveillance.
Enfin une piste … c’est déjà  ça de pris. En prenant congés, je prie pour que ma présence ici ne sorte pas de ce camp … ma sécurité est déjà sufisement précaire comme ça.

Lors du retour vers Jérusalem, nous partageons ces informations avec Bashir et Blanche qui nous attendaient patiemment dehors. La décision est donc prise d’aller directement au palais pour prendre des informations sur ce Launay.

Arrivée devant le palais, nous essayames de recupérer un garde pour l’interroger. Nous avons du tomber sur un garde surentrainer, Bashir et Sheitan ont eu du mal à l’assomer, et j’ai du m’y reprendre à deux fois avant de l’endormir. Seul fait interessant, Bashir sait créer une sorte de zone de silence afin de renforcer la discrétion de l’opération. Décidement, toutes ses actions ont l’air d’être effectué dans ce but.
Mais l’interrogatoire de ce garde ne donna rien, les gardes ne se connaissent pas vraiement les uns les autres …. il nous faut donc trouver un autre moyen de contacter ce capitaine de la garde.

Nous décidames donc de nous rendre à l’intéirue du quartier chrétien afin de trouver sa famille. Les patrouilles sont nombreuses et je guide notre groupe afin de les eviter er de trouver la plus petite pour trouver nos informations.
En se présentant à la patrouille, Fidelma leur intime l’ordre de leur donner l’adresse du capitaine Launay. Le chef de la patrouille ayant l’air de tourner autour du pot, Fidelma se fait plus autoritaire par l’utilisation d’un pouvoir caïnite et obtient les information nécessaires.

Nous nous dirigeons donc rapidement vers la maison. pendant que j’étudie la porte pour essayer de l’ouvrir dans trop de fracas avec la hache de Sheitan, Bashir se faufile par le haut de la batisse pour nous ouvrir de l’intérieur.
Trois personnes sur place suivant ce que j’entends, une au rez de chaussée deux à l’étage. Je me dirige donc avec Fidelma vers la pièce ou la personne du rez de chaussée loge afin d’essayer de la maitriser calmement avant qu’elle ne hurle.
Au même moment, la patrouille que nous avions croisé entre dans la maison afin de vérifier si la famille du capitaine Launay va bien.
Encore une fois, rapidement la situation dégénère en boucherie. Sheitan taillant rapidement dans le flan de deux gardes, les deux autres étant eviscérés par Bashir qui a sorti des kriss de sous sa toge. Même Fidelma a pris part au combat en empéchant de chef de patrouille de se servir d’une torche. Tout va tellement vite … tout sauf Blanche qui essaye de rattraper un garde à l’éxtérieur et encore une fois, cela dérape et elle se nourrit sur lui en pleine rue.
Bashir et Sheitan ramène tout le monde à l’intérieur quand j’entends des sanglots à l’étage. En entrant dans la chambre, la femme et la fille du capitaine Launay se trouve sur le lit, apeurées par tous les cris et bruits au rez de chaussée et la femme me menace du couteau.
Approchant doucement de la femme, je mets doucement ma main sur le couteau. Ne sentant pas de menace, elle me laisse l’approcher et dès que je peux la toucher, je l’endors. Puis j’endors sa fille.

A la vue du carnage dans la maison, nous passons par les toits pour nous echapper et trouver un endroit pour interroger la femme et la fille du capitaine.
Plus au calme, nous les reveillons naturellement et par souci de confiance, ce sont les deux nonnes qui mènent l’interrogatoire. Même si je suis éloigné, j’entends tout de même que la femme reclame à être menée au palais pour revoir son mari qu’elle n’a pas vu depuis longtemps, et que la fille veuet sa poupée. blanche lui remet un bout de chiffon et la jeune fille se calme immédiatement.

Notre chemin mène donc à nouveau vers le palais.
Blanche, Fidelma et Bashir vont pouvoir entrer dans le palais en accompagnant la femme de Launay.
Sheitan lui semble a nouveau parler aux rats. Il semblerait qu’un chemin présent depuis le vieux Jérusalem maitenant souterrain puisse mener à l’interieur du palais. Nous empruntons avec Sheitan ce passage et retrouvons le reste de notre groupe de fortune à l’intérieur.
Les appartements de la nièce nous sont toujours inaccessibles mais la encore, les paroles des rats vont nous aider. En effet, il nous indique un autre chemin existant sortant du pièce du palais qui sent mauvais pour les rats. Cela semble logique, si la nière arrive a partir sans attirer l’attention, elle connait forcément un passage tel que celui la.

Nous remontons donc le passage vers le palais et aboutissons dans la chambre de la nièce du patriarche. Une rapide investigation menée par Fidelma nous fait découvrir dans lettre d’amour signé d’un certain Ahmed, personne qu’elle va donc suremnt retrouver régulièrement.
Sheitan prend également un morceau d’etoffe. sachant parler également aux chiens, il en convoque un pour qu’il puisse suivre cette piste, grace au flair surdevelopper de l’animal. Cette piste nous mène directement au quartier arménien, mais le mélange des odeurs perturbe le chien qui ne peut nous en dire plus.

Encore une fois, l’aube apparait avec son flot de question mais également de réponse cette fois.
Même si nous ne savons toujours pas ou est Launay, le quartier arménien semble être enfin un bon début. Je suis moins méfiant envers Bashir, le combat que nous avons mené aurait été une parfaite occasion pour lui de me blesser et cela n’a pas été le cas. Par contre, il est hors de question qu’il me suive … il ne doit pas rencontrer Aisha. Il va falloir que je trouve un moyen de contrer son invisibilité.

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